Informations utiles

Bactéries Legionella

La bactérie Legionella est une bactérie vivant dans l’eau qui, dans des conditions favorables telles que des températures comprises entre 25°C et 50°C, dans les systèmes d’eau potable des bâtiments ou dans les évaporateurs des tours de refroidissement peut se multiplier très fortement. Pour l’homme, ces bactéries ne deviennent dangereuses que lorsqu’elles sont atomisées dans les douches, inhalées et finissent dans les poumons. Cela provoque la légionellose, une forme très dangereuse de maladie pulmonaire. Il s’agit d’une maladie infectieuse à déclaration obligatoire qui ne se transmet pas d’une personne à l’autre, mais qui, dans certains cas, peut entraîner la mort, surtout chez les personnes affaiblies.

Les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC, 2015) montrent qu’il y a environ 13 légionelles par million d’habitants en Belgique. En Allemagne, on enregistre environ 1000 infections à légionelles, dont 5% causent la mort. Selon plusieurs autres sources allemandes, le nombre d’infections se situe entre 15.000 et 30.000 par an, dont 10% causent la mort.

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“Legionella switching”

Une augmentation périodique et temporaire de la température au-dessus de 60°C dans un circuit d’eau chaude est appelée « circuit Legionella ». Selon la législation allemande DVGW W 551 (A) et W 557 (A), ce n’est plus une désinfection thermique. La désinfection thermique n’est plus suffisante lorsque la Legionella est déjà présente. Cette augmentation de température entraîne une calcification des tubes et une usure plus rapide des équipements techniques et des joints. Il contribue à ce que la bactérie Legionella devienne résistante à des températures de plus en plus élevées.

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Biofilm – Protection et terrain fertile pour la bactérie Legionella

Un biofilm est une communauté symbiotique de vie constituée de micro-organismes tels que bactéries, champignons ou algues. Le biofilm exploite les propriétés métaboliques et les mécanismes de protection des autres espèces et sert de zone de reproduction et de protection pour les bactéries Legionella et les amibes, qui agissent comme hôtes des bactéries Legionella.

La stagnation, les tuyaux morts ou surdimensionnés, les réservoirs tampons peu rafraîchis, les températures inférieures à 60°C ou supérieures à 25°C, augmentent la croissance du biofim.

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Obligations légales d’exploiter les bâtiments

Le 9 février 2007, une loi sur la légionellose est entrée en vigueur en Flandre (Belgique) qui oblige chaque exploitant d’un bâtiment public à élaborer un plan de gestion de la légionellose avec analyse des risques. Cela comprend les hôpitaux, les CZW, les écoles, les clubs sportifs, les hôtels, les expositions, les cabinets dentaires, etc… ou les installations qui peuvent présenter un risque pour la santé comme les tours de refroidissement.

Les bâtiments sont classés en établissements à risque élevé et à risque moyen, couvrant tous les bâtiments du secteur des soins. Tous les autres bâtiments, non accessibles au public, sont soumis à la législation de Welfare at Work. Grâce à cette législation, ces entreprises doivent également prévenir la légionellose et peuvent s’appuyer pour cela sur le décret Legionella de 2007.

Concrètement, cela signifie que l’exploitant doit établir un plan de gestion de la légionellose et une analyse des risques conformément à la législation et qu’il doit le réaliser dans les délais. En plus des mesures structurelles, les points de taraudage utilisés moins d’une fois par semaine doivent également être rincés. Les échantillons aux points à risque doivent être prélevés annuellement.

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Mesures pour un système d’eau potable hygiénique

La législation prévoit les mesures qui doivent être prises pour garantir qu’une installation sanitaire est sans risque de légionellose. Les mesures dépendent du type de bâtiment ou d’équipement.

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Comparaison des classes de danger biocides

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Avantages de l’AqualityBox® par rapport à la désinfection thermique

• La désinfection des conduites d’eau froide et d’eau chaude est possible et peu coûteuse en même temps. Est souvent utilisé par nécessité.
• Protection active avec AqualityBox® contre le biofilm qui dissout des millions de microorganismes directement dans l’eau.
• Dégradation efficace et continue du biofilm par « effet dépôt ».
• Pas de risque de brûlures, comme pour la désinfection thermique qui nécessite de l’eau à 70°C pendant trois minutes pour chaque point de prélèvement.
• Pas de chauffage des conduites d’eau froide qui se trouvent à proximité des conduites d’eau chaude.
• Réduction des coûts de personnel et des coûts d’énergie et d’entretien (économies d’énergie).
• Eviter les dépôts calcaires dans les canalisations dus à l’eau chaude, en particulier dans les zones d’eau dure.
• Éviter toute résistance à la température de la bactérie Legionella.

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Avantages de l’AqualityBox® sur le dosage du dioxyde de chlore

• Éviter les produits chimiques nécessaires à la production de dioxyde de chlore.
• Éviter l’utilisation de systèmes à haut risque tels que les risques d’explosion lors du regroupement de composants chimiques.
• Éviter la formation dans l’eau potable des substances nocives chlorite et chlorate, qui sont causées par l’action du biofilm.
• Possibilité de surveiller et d’ajuster le biocide actif via la surveillance et le contrôle en ligne.

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Avantages de l’AqualityBox® par rapport au dosage du javel classique (15 % de chlore)

• Pas de dégradation de la substance active NaClO par stockage dans des récipients et par des températures élevées.
• Ceci empêche également la formation du chlorate toxique, causé par la dégradation de la matière active NaClO ;
• Faible nuisance olfactive et gustative, caractéristique d’une forte dose de chlore.
• Évitement du danger par des normes de sécurité élevées pour le stockage, le transport et le dosage de 15 % de NaClO en tant que substance dangereuse.

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Avantages de l’AqualityBox® par rapport à l’électrolyse à membrane

• Coûts d’investissement et d’exploitation beaucoup plus faibles et, par conséquent, coûts d’entretien réduits.
• Sans sous-produit nocif de l’électrolyse à membrane, le NaOH, qui doit être éliminé sous des dispositifs de haute sécurité.
• Moins de formation de chlorate
• Technique simple et robuste avec technique de mesure et de régulation intelligente.
• Système  » Plug & Play  » pour une intégration facile dans un système sanitaire existant.

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